Baccalauréat Littéraire suivi d’une Licence en Langues étrangères appliquées (Anglais/Espagnol) et fin des études. J’ai vécu de petits boulots (intérim, cuisine, inventaires) avant de trouver une opportunité de rédacteur stagiaire dans le web, pour passer bien des années plus tard derrière les fourneaux en tant que chef de cuisine, et au final faire mes armes dans le développement au cœur de start-up et d’ESN pour atterrir au poste qui me convient enfin : celui d’ingénieur en intégration de données chez MiddleWay.
À 9 h, j’en suis déjà à mon 3ème café ! Autrement, une fois installé, je fais comme tout le monde : je vérifie mes mails et j’y réponds, et je continue ma tâche de la veille ou d’avant le week-end.
Une grande partie de mon travail consiste à browser les résultats de Google à la recherche de solutions à mes problèmes. Lorsque la tâche ne demande pas de recherches, je mets de la musique et je m’y mets jusqu’à terminer ou jusqu’à ce que midi sonne. Ensuite, selon la saison, je vais courir jusqu’au parc de Gerland, je me lave, mange et je m’y remets jusqu’à 17 h, heure à laquelle je décolle car j’habite dans la cambrousse drômoise.
À mes yeux, MiddleWay, c’est une petite boîte composée de personnes très compétentes dans leur domaine, chacune avec leur spécialité. Pour autant, tout le monde garde les pieds sur terre et fait preuve de beaucoup de bienveillance envers ses pairs, et ce peu importe la hiérarchie. Les nouveaux venus sont toujours très bien intégrés et la bonne ambiance règne toute la journée.
Je veux transiter du lundi au vendredi comme ma donnée transite d’une base de données à une autre : de façon rapide et efficace.
On ne le répétera jamais assez : aujourd’hui, la donnée, c’est le nerf de la guerre. Et comme la donnée d’aujourd’hui ne peut plus se permettre d’être figée, il a fallu trouver des moyens de la faire transiter et de la garder à jour. C’est ce qu’on fait chez MiddleWay : on transporte la donnée d’un point A à un point B, en effectuant des opérations supplémentaires en cours de route si besoin. Et tout ça, bien entendu, on l’automatise, ainsi il ne nous reste plus qu’à surveiller que cette machinerie bien huilée ne s’enraye pas.
